Sorti le 16 octobre dernier sur Netflix, Les 7 de Chicago réunissait dans un film de procès nécessaire, un casting cinq étoiles. D'emblée la mise en scène donne le rythme du tourbillon historique et émotionnel auquel les personnages ont été confrontés lors des événements narrés dans ce pamphlet parfois trop didactique même si les motivations voire les agissements des accusés demeurent parfois flous voire discutables: innocents sans être déchargés de toute responsabilité. La Critique de Les Sept de Chicago : Développé sous pavillon Paramount, Les Sept de Chicago a finalement été racheté par Netflix qui, disons-le d’emblée, s’est payé là l’un des meilleurs titres de son catalogue. 107 abonnés Qui sommes-nous | Lire ses 688 critiques, Suivre son activité Les « 7 de Chicago », c’est le récit d’un procès forcément politique avec un juge partie prenante pour un ordre social suranné qui n’hésite pas à faire ligoter et bâillonner Bobby Seale aux yeux de tous dans le tribunal sans comprendre à quel point cette violence est devenue insupportable devant une forêt de caméras et de micros prêts à en témoigner. Un scénariste de génie, l’un des plus influents d’Hollywood (les séries À la Maison Blanche et The Newsroom, les scénarios de Des hommes d’honneur de Rob Reiner, The Social Network de David Fincher ou encore Steve Jobs de Danny Boyle). Quant aux dialogues, normalement point fort de Sorkin, je ne sais pas si c'est sa pauvre mise en scène qui n'arrive pas à suivre ou s'ils sont juste moins bons que d'habitude, mais clairement ils n'ont aucune profondeur, aucune puissance. Ce n'est pas sérieux. SYNOPSIS: Lorsque la manifestation en marge de la convention démocrate de 1968 tourne à l'affrontement, ses organisateurs sont accusés de conspiration et d'incitation à la révolte. En regardant "Les Sept de Chicago", je me suis tout de même fait cette réflexion.La fascination envers les procès. 232 abonnés On pourra donc reprocher au film de prendre quelques libertés avec les faits, rendant quelques personnages un peu caricaturaux. The Trial of the Chicago 7 • Film de Aaron Sorkin • Exclusivement sur Netflix le 16-10-2020• Musique composée par Daniel Pemberton. Il y a fort à parier qu'on le connaisse désormais en tant que grand réalisateur. ), qui a réuni de grandes figures de la contestation contre la guerre au Vietnam et les discriminations et qui s'est révélé être un désastre. Le pays est à fleur de peau, entre l’assassinat de John Fitzgerald Kennedy (en 63), celui de Martin Luther King (en 68) & Bobby Kennedy (quelques mois plus tard), ajoutez à cela, la guerre du Vietnam qui divise de plus en plus le pays, entre ceux qui sont appelés au front et ceux qui y échappent (les privilégiés). Mais la grève des… Pour son second essai derrière la caméra (et bien sûr il signe aussi lui-même le scénario), il s’intéresse au procès très médiatique des émeutiers de Chicago en 1968. Les services AlloCiné | Des hommes de différents horizons et de formations politiques diverses (souvent assimilées à la gauche radicale) qui protestaient contre la guerre du Vietnam. T 82%. C'est un film sage et gentil comme les personnages de Remayne et Gordon-Levitt et donc insupportable. Communiqué de presse - Les Sept de Chicago: Le procès de huit hommes accusés de conspiration lors de la Convention démocrate de 1968. A commencer par Frank Langella, incroyablement nauséeux dans la peau du juge Hoffman. Sorkin n'a même pas repéré les grands moments forts de son récit, c'est une tragédie de voir ce film. Il y avait beaucoup à dire, et manifestement Aaron Sorkin aurait peut-être dû recourir à certains infidélités historiques pour développer une narration plus eurythmique. Ce genre de film, il en existe des dizaines chaque année, mais de ce niveau-là ils sont très rares. Un film poli et chargé à blanc. Aaron Sorkin, le brillant scénariste ayant notamment écrit "The Social Network", réalise "Les Sept de Chicago" pour Netflix, film racontant le procès de sept personnages ayant participé à des émeutes contre la guerre du Vietnam en 1968 à Chicago. ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄. 140 abonnés Peut-être qu’un montage chronologique et des retours en arrière auraient été plus indiqués ? Porté par un casting prestigieux, Sacha Baron Cohen en tête, "Les Sept de Chicago" est un uppercut. Ceci étant dit, parvenir à faire un nouveau film américain sur la guerre du Vietnam qui ne soit pas du multi-déjà-vu, c'est un exploit en soi. La force première de « Les Sept de Chicago » demeure en toute logique les dialogues ciselés et impeccablement mis en bouche de Sorkin notamment lors des joutes verbales au sein du tribunal. Lire ses 1 922 critiques, de Lire ses 1 357 critiques, Suivre son activité Mais c'est terrible parce que ça ne dit finalement rien, ça prend juste vainement position contre la guerre du Vietnam et les violences policières, rien de bien folichon ou qui ne fasse pas consensus. En dépeignant ce procès hors norme de l’intérieur, on y découvre les rouages du système et les inégalités qui émaillent cette justice à deux vitesses. The Trial of the Chicago 7 est essentiellement un drame judiciaire, qu’Aaron Sorkin ponctue de retours en arrière et, parfois, de vraies scènes d’archives. Mais au-delà de ces quelques défauts qui sautent aux yeux, c’est le sujet du film en lui-même qui ne semble pas forcément traité de la bonne manière. Vladimir Orlowski, Par les membres ayant fait le plus de critiques, Les meilleurs films de tous les temps selon les spectateurs, Les meilleurs films de tous les temps selon la presse, OSS 117: Alerte rouge en Afrique noire Teaser VF. Politique de cookies | Lire ses 922 critiques, Suivre son activité L'avis de la communauté. Les Sept de Chicago est un drame de 2020 , d'une durée de 129 minutes réalisé par Aaron Sorkin . CGU | Aaron Sorkin est surtout connu pour ses scénarios malins et excellemment dialogués comme celui du biopic sur le créateur d’Apple, « Steve Jobs », mais surtout celui en or massif de « The Social Network », chef-d’œuvre incontestable de David Fincher. S'ils sont tous à féliciter pour ces joutes (la valeur ajoutée de Sorkin), Sacha Baron Cohen et Mark Rylance sont à mes yeux les plus impressionnants du lot. Un film crucial, magnifiquement écrit, réalisé et mis en scène, à voir absolument donc. Souvent très hilarant quand il s’envole dans cette ironie acerbe, le film de Sorkin n’en oublie pas de … D'ailleurs dès le début Gordon-Levitt bien que procureur (et donc du côté de l'état dans le procès qui vise à condamner des manifestants contre la guerre du Vietnam) est montré comme un bon gars qui fait son devoir mais qui croit en l'innocence des gens qu'il doit condamner. Avouez qu'il y a déjà bien assez pour préparer la saison des Oscars. Le projet des Sept de Chicago date de plus d'une décennie. De plus, il y a beaucoup de personnages et les deux heures du film ne permettent pas de bien les cerner tous comme il le faudrait pour qu’on s’y attache. Il n'a aucune ambigüité, il ne change pas, c'est un bon gars, il a le sens du devoir, mais on n'explore même pas le dilemme... Il est juste transparent. Les Sept de Chicago, un film de Aaron Sorkin | Synopsis : Le procès des manifestants lors du Congrès de l'assemblée Nationale de Chicago en 1968, une date importante dans l'histoire des Etats-Unis. Énorme casting, d'où ressortent peut-être Franck Langella en juge rétrograde et Marc Rylance en avocat sur la corde. Recrutement | Les Sept de Chicago relate l’histoire du procès de sept organisateurs de manifestations contre la guerre du Vietnam à l’origine d’affrontements contre la police en 1968. Lire ses 1 037 critiques, Suivre son activité Un des meilleurs films de l’année 2020 et un concurrent sérieux pour les … C’est donc assez intéressant sur le fond et on peut faire d’intéressants parallèles contemporains. Revue de presse | Gagarine, The Nest, Falling. Totalement maître de son sujet, Aaron Sorkin, en racontant l’histoire des Sept de Chicago, fait se télescoper les époques et offre à la notre l’un de ses films les plus éloquents. Difficile d'ailleurs de ne pas voir les rapprochements entre Baron Cohen et feu Abbie Hoffman, qui ont l'un comme l'autre choisi de provoquer pour réveiller les consciences. Original, Les Sept de Chicago aborde un sujet sérieux, grave, mais il le fait avec un humour injecté d’un sens mordant de la dérision mettant en exergue le pas drôle mais presque d’un épisode plein d’ironie. Et aujourd'hui c'est pire ! Toutes les différentes gauches de l’Amérique se sont donné rendez-vous (les Black Panther, la "coalition nationale anti-guerre", le "Youth International Party" un parti politique anti-autoritaire & libertaire et même les hippies !). Lire ses 302 critiques, Suivre son activité Je vous le disais en intro et je confirme : des premiers rôles aux derniers figurants, ils sont merveilleux. Lorsque les accusés se retrouvent à dire "rejetée" à chaque fois que quelqu'un émet une objection car on sait par avance que le juge va rejeter l'objection, il n'y a rien qui se passe parce que la scène sert juste à faire cette blague. L’enchaînement des événements historiques prend parfois la tournure d’un cadavre exquis. Besoin de vous faire un dessin ? Le temps paraît long parfois... Second long-métrage pour Aaron Sorkin, si son nom ne vous dit rien, on lui doit (entres-autres), le scénario de The Social Network (2010) & Steve Jobs (2015). En fait au lieu de faire un vrai film de procès axé sur l'intelligence des dialogues, sur la tension avec un huis clos oppressant à cause d'un juge au jugement erratique on a juste une série de clins d’œils à la politique actuelle qui s'étale peu subtilement sur 2h10 (dieu que c'est long) sans aucun réel traitement politique, sans aucune remise en question des États-Unis... Le maire sait ce qu’il l’attend et se prépare à faire face aux manifestants en y déployant près de 12000 officiers, plus de 5000 membres de la garde nationale & 5000 soldats. Dommage toutefois que le personnage du procureur interprété par Joseph Gordon-Levitt (et dont on saisit pourtant des contradictions très intéressantes), demeure au second plan. Il y a les accusés, leurs avocats, les politiques et les juges qui jouent tous un rôle plus ou moins pivot mais auxquels le peu de temps imparti leur confère parfois juste un emploi fonctionnel. Aaron Sorkin nous tient en haleine avec une certaine aisance, en grande partie grâce à cette histoire aussi vraie qu’effarante, avec des images d’archive qu’il égrène ici et là et un casting qui invite au voyage. Celles-ci entremêlées ingénieusement et naturellement au récit font du long-métrage d’Aaron Sorkin une œuvre rythmée, puissante et percutante que l’on prend très rapidement au sérieux. Critique du film Quand la justice n'est que parodie, quand les accusés ne sont que des exemples dissuasifs que l’État veut donner, quand la liberté d'expression (le fondement même d'une démocratie) est bafouée : voici Les Sept de Chicago. Et que dire du juge est une caricature de juge malveillant. Gagarine, The Nest, Falling, Suivre son activité Le film est ciselé pour nous faire sentir cela : un montage dynamique, une pression constante, des répliques au cordeau et des acteurs vraiment impliqués. Le tout est emballé avec la ferveur qu'on attendait, même si le scénariste/metteur en scène n'a ni la maestria d'un David Fincher ni l'effervescence d'un Danny Boyle. Et sur ce point, le brûlot de Sorkin rappelle un peu le documentaire tricolore Un pays qui se tient sage (réalisé par David Dufresne) sorti fin septembre. Du début à la fin j'ai été plongé, avec les personnages du film, dans cette injustice. Diffusé sur Netflix, le nouveau film d'Aaron Sorkin évoque les tensions politiques et raciales aux Etats-Unis à la fin des années 1960. Le réalisateur nous replonge en plein cœur des années 60 aux Etats-Unis. 41 abonnés Et cela n’est probablement pas un hasard. Les deux heures sont passées à la vitesse de … A contrario, ce second long-métrage est très académique dans sa mise en scène, c’est un film de procès assez basique entrecoupés de quelques images d’archives pas toujours mises de manière adéquate. Pas inoubliable donc et un peu décevant mais cela reste du cinéma qualitatif et important pour ce qu’il raconte et le devoir de mémoire qui va avec en ces temps troubles. Il confirme qu’il est l’un des dialoguistes les plus doués de sa génération, les répliques fusant comme lors d’un match de ping-pong, délectables pour nos oreilles du début à la fin. 74 abonnés Ex. Plus qu'une simple reconstitution historique, sa résonance avec l'actualité en fait d'ailleurs une oeuvre universelle et intemporelle d'autant plus marquante. Au programme de La Critique cette semaine : le nouveau film d'Aaron Sorkin (scénariste de The Social Network de David Fincher, créateur de la série À la Maison Blanche) Les Sept de Chicago disponible sur Netflix (avec Yahya Abdul-Mateen II, Sacha Baron Cohen, Mark Rylance et Joseph Gordon-Levitt) et un état des lieux de … Néanmoins la corruption flagrante du système judiciaire américain demeure assurément le principal objet de blâme de l'intrigue tout en questionnant l'évolution réelle du rapport entre les citoyens et leur gouvernement depuis lors. Là il n'y a aucun suspens, on sait qu'ils vont perdre. « Les Sept de Chicago » est un grand film de procès captivant porté par des dialogues exceptionnels et des comédiens fabuleux. Il est passé à la réalisation avec le thriller réussi et de grande classe sur l’univers du poker intitulé « Le grand jeu » avec Jessica Chastain. Guy Ritchie, avec Le brillant scénariste oscarisé Aaron Sorkin nous plonge au coeur de ce simulacre de justice et véritable procès politique. Lire ses 6 149 critiques, Suivre son activité 6.6 /10 IMDB 7.8 Créez un compte ou connectez-vous pour noter et commenter 677 abonnés ©AlloCiné, Retrouvez tous les horaires et infos de votre cinéma sur le numéro AlloCiné : 0 892 892 892 (0,34€/minute). Alors je ne connais pas la vraie histoire, mais j'ai trouvé ça d'une paresse terrible. Percutant. Mais en tombant dans le piège de l'analepse Sorkin enlève toute puissance au film. Données Personnelles | Sorkin se garde bien de généraliser cette corruption à tous les niveaux, mais le constat atteint comme une décharge en plein cœur : 5 décennies plus tard, même combat. En fait aucun des personnages n'existe vraiment, ils ont beau se chamailler un peu sur les différents types de révolution ça reste tous des patriotes américains qui ne proposent aucune réflexion vraiment profonde sur la société américaine et sur le pouvoir en place. La maîtrise et le talent de Sorkin demeurent déconcertants. Recrutement | Et sur la durée du film, sans s’ennuyer pour autant, difficile d’être totalement captivé et de trouver « Les Sept de Chicago » très palpitant. Préférences cookies | Qui sommes-nous | Assurément ! Outre sa dynamique et son appel à la réflexion, le film vaut par ses dialogues que le démentiel casting sert avec brio, chacun conférant du relief à son personnage, même si ceux d'Eddie Redmayne et de Sacha Baron Cohen sont logiquement mis en avant, deux faces d'une même pièce contestataire. Lire ses 3 777 critiques, Suivre son activité Aaron Sorkin propose un long-métrage très réussi qui fait cruellement écho à l'actualité politique, très enflammée par ses injustices et ses débats idéologiques, qui ne manquera pas de questionner le système judiciaire des États-Unis en mettant en image ses dérives. Déstabilisé comme tout le monde par l'apparition d'un certain virus qui paralyse l'industrie, notamment les exploitants de salles, le nouveau film de Aaron Sorkin devait être vu cet automne. Il fallait qu'il sorte. : Un beau casting (Cohen en grande forme), une intrigue plaisante à découvrir, et un Juge qu'on adore détester. Le film pointe aussi les dysfonctionnements de la justice américaine de l’époque qui existent encore aujourd’hui. Ou peut-être que de mettre le procès au centre du film n’était pas une bonne idée ? Histoire d'appuyer bien comme il faut, le film s'attaquera au procès historique de plusieurs figures contestataires à la fin des 60's, alors que l'intervention miliaire au Vietnam déchire l'Amérique. "Les Sept de Chicago" reste un film très intéressant, qui réussit à interpeller le spectateur. Sorti en 2020, "Les Sept de Chicago" revient sur le retentissant procès des sept prévenus suite à la manifestation de 1968 lors de la convention démocrate. Seul Bobby Seale sera "absent" du procès (membre des Black Panthers, il dénoncera le racisme du juge, puisque ce dernier se retrouvera privé d’avocat, mais bel et bien présent aux audiences). Et sa tête de jeune premier n'aide vraiment pas à le considérer comme autre chose qu'une sorte de scout. : Un procès gigantesque (plus de 150 jours ! Drame. Parce qu’au-delà des faits historiques, le film aborde les violences policières à l’égard des jeunes, des noirs, des intellectuels, des pacifistes… en bref tout ce qui ne rentre pas dans l’étiquette traditionnelle républicaine. Avec autant de têtes d’affiche, il était évident que l’ensemble allait faire des étincelles. Espérons qu'un film comme Les Sept de Chicago parvienne au moins à remettre en lumière ces symboles qui ont fait de leur contestation un acte patriotique par excellence. Malheureusement, la pandémie est passée par là et la sortie en salles ne verra jamais le jour. C’est Michael Keaton qui en quelques scènes salvatrices remporte le morceau mais surtout Franck Langella en juge désagréable et sensiblement corrompu qui nous marque le plus. Je n'ai littéralement pas vu passer les 2 heures tellement j'ai été embarqué par le scénario et les dialogues. On retrouve dans ce film tout ce qui fait la réussite des oeuvres de son auteur : des dialogues en rafale, un rythme mené tambour-battant ainsi qu'un propos pertinent. Et que son réalisateur n'a jamais caché ses prises de positions pro-démocrates. 87 abonnés Mention spéciale à l’hilarant passage d’un ex-Batman. On voit clairement que le film est fait pour plaire, quitte à donner dans le bon sentiment (le discours final, les épilogues) ou quelques entorses à la réalité, mais cela ne gêne pas vraiment le visionnage, on aurait même préféré qu'il aille plus loin dans le drama, car c'est parfois trop propre (le démarrage laborieux et le personnage Black Panther dont on ne fait rien), car les acteurs sont bons sans pouvoir tirer leur épingle du jeu (peut-être Sacha Baron Cohen, qui s'amuse bien dans son rôle, étant le plus intéressant des sept accusés), et l'on se questionne carrément sur le titre "film à Oscars" que l'on voit fleurir un peu partout. Will Smith et Heath Ledger étaient alors pressentis. Lire ses 1 317 critiques, Suivre son activité 1785 abonnés Les jeunes se rebellent contre les institutions et le gouvernement, un climat insurrectionnel se fait ressentir et c’est clairement cela que nous fait ressentir le film (d’ailleurs, ce contexte si particulier est aussi palpable à l’étranger, pour preuve, le mouvement de Mai 68 en France).
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